Le ministre congolais d’Environnement et Développement durable, Claude Nyamugabo, doit publier les contrats de 9 concession forestière attribuée aux sociétés chinoises en janvier dernier de cette année. C’est l’appel de Greenpeace Afrique qui s’est joint à la démarche de la société civile environnementale de la RDC.
Ces concessions, évaluées à près de 2 millions d’hectares se trouvent éparpillées dans les provinces de l’Equateur, de la Mongala, de Tshuapa, de Bas-Uélé et de la Tshopo. Elles ont été attribuées aux sociétés Congo Sunflower Forestory Development et Congo King Baisheng Forestory Development.
Pour Greenpeace Afrique, Claude Nyamugabo doit respecter ses engagements de transparence en publiant dans un bref délai tous les documents liés à cette affaire.
« Le ministre doit respecter ses promesses de transparence et publier sur le site du ministère, d’ici ce vendredi, tous les documents afférents à ces attributions. Il s’agit, pour chacun des 9 contrats, du contrat lui-même, de l’acte de cession conclu entre les concessionnaires, de la demande de cession adressée au ministre, de l’ancien contrat de concession, de l’arrêté autorisant la cession, ainsi que les accords des clauses sociales avec les communautés concernées », a déclaré Irène Wabiwa Betoko, cheffe de projet international ad intérim pour la campagne forêt de Greenpeace Afrique.
La conférence de presse de la société civile environnementale qui était annoncée à ce sujet ce mardi à Kinshasa a été reportée à une date ultérieure sans une explication. Les ONG avaient promis de faire entendre leurs voix auprès du ministre de l’environnement au sujet de ces attributions forestières.
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