Les peuples autochtones riverains du parc national de la Garamba et les autorités qui dirigent ce site historique ont signé un protocole d’accord pour une cohabitation pacifique. Cet accord est le fruit des assises tenues du 13 au 14 mars dernier à Isiro (Haut-Uélé) sous la direction des autorités provinciales.
Les deux parties qui cohabitent difficilement se sont engagées notamment à mettre en place un cadre de dialogue social permanent qui devra être un cadre d’échange et d’informations. Elles doivent chacune s’impliquer dans les projets de développement initiés par le parc national de la Garamba afin de créer des emplois alternatifs pour les riverains.
Comprenant d’immenses savanes herbeuses et boisées, entrecoupées des forêts-galeries le long des rivières et de dépressions marécageuses, le parc abrite quatre des plus grands mammifères : l’éléphant, la girafe, l’hippopotame et surtout le rhinocéros blancs, inoffensifs et beaucoup plus gros que le rhinocéros noirs, dont il ne subsiste qu’une trentaine d’individus.
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