Le Parc national de Kahuzi-Biega rejette les allégations d’abattage d’arbres portaient contre lui par les peuples autochtones pygmées “Twa”.
Pour les responsables de ce patrimoine mondial, il s’agit de la diversion des peuples autochtones qui sont traqués par les écogardes.
” Ils cherchent toujours à détourner l’attention sur le vrai problème, et faire fausse route sur le faux problème. Les accusations contre le PNKB c’est ce qu’on appelle faux problème mais le vrai problème réside dans l’instrumentation des pygmées par les destructeurs de ce parc. Récemment on a arrêté plus de 5 qui détenaient des braises et des planches, ce qui fait à ce que les gens commencent à monter des choses contre nous parcequ’on a arrêté des véhicules” a dit Hubert Mulongoy, chargé de communication du Parc national de Kahuzi-Biega.
Les responsables du parc pense que tous les sites cités dans ledit rapport ont étés abandonnés depuis longtemps dans le territoire de Kabare et les pygmées de Kabare ne sont plus dans le parc.
Dans un rapport publié il ya quelques jours, les responsables peuples autochtones vivant aux alentours du Parc national de Kahuzi-Biega ont accusé l’Institut congolais pour la Conservation de la Nature (ICCN) d’abattage par arrhes aux vendeurs des planchers.
ils accusent le chef de site qui collabore avec le propriétaire d’une plantation de thé aux alentours du Parc de Kahuzi Biega d’être responsable. Et ajouter qu’il y a maintenant plus de 3 semaines que deux les scieurs engagés par le Parc national de Kahuzi-Biega coupent les arbres et les acheminent à Civanga où les deux écogardes supervisent les travaux.
Justin Mwamba
Le Vice-Premier ministre en charge de l'intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, Jacquemain Shabani, a procéd
Le Monkeypox, également connu sous le nom de variole du singe, est une maladie virale qui a récemment attiré l'attention en raison de plusieurs cas
En République démocratique du Congo, le Président de la République Félix Tshisekedi a promulgué le 14 novembre dernier la loi p
La justice belge a condamné trois personnes à des peines allant jusqu’à 8 mois de prison ferme et à une amende allant jusqu’à 8 000€ pour avoir imp
