Deuxième poumon mondiale, les forêts du Bassin du Congo courent plusieurs menaces parmi lesquelles la plus urgente reste l’attribution de 9 concessions par le ministère congolais de l’Environnement Claude Nyamugabo aux entreprises chinoises, alerte l’organisation Greenpeace Afrique.
Selon elle, ces attributions restent illégales en violation du moratoire sur les forêts.
“”les derniers hectares à être attribués. Ils restent illégaux en violation du moratoire par le ministère Claude Nyamugabo aux Chinois. On parle de 9 concessions. Ce dossier n’est pas encore fini. Je pense que ça c’est une menace très urgente. Les Chinois sont entrain de ravager les forêts. Avec les conditions nous imposées par Covid-19, le monitoring devient difficile. Que ce soit pour la société civile que ce soit pour Greenpeace ou encore pour les inspecteurs forestiers.”,a dit Irène Wabiwa, Responsable senior de campagne forêt à Greenpeace Afrique, au cours d’un Webinaire de sensibilisation avec les journalistes de ACTUALITE.CD
Ces concessions, évaluées à près de 2 millions d’hectares se trouvent éparpillées dans les provinces de l’Equateur, de la Mongala, de Tshuapa, de Bas-Uélé et de la Tshopo. Elles ont été attribuées aux sociétés Congo Sunflower Forestory Development et Congo King Baisheng Forestory Development.
Greenpeace Afrique réitère son appel lancé au ministère Claude Nyamugabo d’annuler toutes les concessions parce qu’illégales.
D’autre part, le service de communication du ministre Claude Nyamugabo avait nié toute implication de leur chef dans cette affaire.
Auguy Mudiayi
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