Le perroquet gris est une grande ressource naturelle et économique non négligeable. Et la République démocratique du Congo, étant au cœur des forêts du bassin du Congo avec plus de 62 %, constitue l’un des plus grandes habitations des populations de cette espèce de faune protégée, pour le continent africain.
Cependant, la gestion durable de ces perroquets gris pose énormément problème en Rd Congo. C’est l’une des grandes préoccupations de la CITES (Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction).
Voilà pourquoi, lors de sa 66ème session tenue à Genève, le comité permanent de la CITES avait recommandé à tous les pays membres de la convention à suspendre le commerce des spécimens de perroquets gris en provenance de la Rdc. Pour ce faire, le secrétariat de la CITES a exigé la Rdc de lancer une étude de terrain scientifiquement fondée afin de savoir quelle est la situation des populations de l’espèce dans le pays.
A savoir, la CITES est un accord international entre les Etats dans le but de veiller à ce que le commerce international des spécimens d’animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces auxquelles ils appartiennent. Elle a été adoptée lors d’une réunion de représentants de 80 pays du monde tenue à Washington (Etats-Unis d’Amérique), le 03 mars 1973, et est entrée en vigueur le 1er juillet 1975.
La CITES est donc contraignante. Les Etats membres sont tenus à l’appliquer. Depuis des années, la CITES est au nombre des accords sur la conservation qui ont la plus large composition; elle compte actuellement 181 Etats membres.
Bokulaka Baende
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