Jamais, depuis qu’était née la civilisation humaine, la préservation de la nature ne devait faire objet d’une attention aussi particulière qu’actuellement. Si la préservation de la nature pour raison de réchauffement climatique n’a pas eu d’impact aussi grand que la flambée de la pandémie au Covid-19, il est temps que l’homme prenne conscience de ce qui lui arrive présentement.
Il y a donc urgence! Il y a eu Ebola, Vih/Sida, et maintenant Coronavirus. À la base, même si on n’en parle pas, tous ces maux ont un point commun: l’incursion sans scrupule de l’homme dans la faune en violation de la biodiversité.
L’on retiendra, selon certains scientifiques « marginalisés », que l’origine du Vih serait des manipulations hasardeuses auprès des grands primates. Ce qui aurait conduit à la transmission de ce virus du singe à l’homme. C’était dans le bassin du Congo (au niveau de l’ex Province Orientale) dans la forêt équatoriale.
Pour ce qui est du virus Ebola, on citera les chauves-souris de la même forêt équatoriale primaire du Bassin du Congo. Ce virus aurait été transmis à l’homme suite à l’incursion de l’homme dans la forêt vierge, habitat de la faune sauvage. C’est cette même incursion humaine dans la biodiversité en quête des richesses naturelles, qui a été indexée pour cette pandémie récidiviste.
Et le virus Covid-19 ne fait pas exception. Pour ce cas aussi, outre la chauve-souris, le pangolin semble être responsable de la transmission du virus de l’animal à l’homme… Finalement, en saccageant la terre, l’homme subit des conséquences graves de ses actes contre la nature par cette nouvelle pandémie de la maladie à Coronavirus interposée.
L’exploitation abusive des ressources naturelles devait donc faire objet d’une attention particulière et d’une réglementation stricte de la part des autorités. Les autochtones des forêts tropicales, surtout ceux qui possèdent des tourbières, dont celles du territoire de Basoko dans la province de la Tshopo (ex Province Orientale), devaient être conscients des enjeux actuels des changements climatiques.
Malheureusement, l’appât du lucre et la cupidité humaine aveuglent et obscurcissent la vision lointaine. Le cas de ce qui se passe dans le Basoko actuellement en est l’une des tristes illustrations.
Bokulaka Baende
Le Vice-Premier ministre en charge de l'intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, Jacquemain Shabani, a procéd
Le Monkeypox, également connu sous le nom de variole du singe, est une maladie virale qui a récemment attiré l'attention en raison de plusieurs cas
En République démocratique du Congo, le Président de la République Félix Tshisekedi a promulgué le 14 novembre dernier la loi p
La justice belge a condamné trois personnes à des peines allant jusqu’à 8 mois de prison ferme et à une amende allant jusqu’à 8 000€ pour avoir imp