Les forces armées de la République démocratique du Congo ont abattu par balles, ce mardi 7 juillet 2020, l’hippopotame au village Kazimia, secteur de ngandja dans le territoire de Fizi au sud-kivu. Cet animal semi-aquatique semait de l’insécurité en tuant la population dans les eaux du lac Tanganyika et dans le village Kazimia.
Au totale, 14 personnes sont tuées par cet hippopotame dont un officier de la police nationale congolaise.
Les habitants saluent les efforts de l’armée mais aussi la décision prise par les autorités locales.
Le conservateur de la réserve de Ngandja et l’administrateur de territoire ont mené au niveau provincial, un plaidoyer pour sauver des vies humaines.
Pour la société civile locale, c’est une bonne nouvelle après plusieurs morts enregistrés dans cette partie du territoire.
” Les autorités militaires nous ont confirmé qu’ils ont réussi un ordre de leur hiérarchie d’abattre cet animal qui a longtemps endeuillé la population de kazimia,plein de joie,les habitants de villages environnants sont venus voir le corps de cet hippopotame au camp militaire. Toutes les activité de pêche parfois été paralysées suite à sa présence dans plusieurs milieux dans le lac Tanganyika. Nous avons compté 14 morts depuis début de l’année et le dernier cas date du 5 juillet où ce dernier a attaqué les pêcheurs à Mulolo causant la mort de deux pêcheurs. De notre part, nous sommes vraiment soulagés car nous avons pendant plusieurs mois plaider pour que cet animal soit abattu la chose qui vient d’être réalisé aujourd’hui”, a déclaré à ACTUALITE.CD ,Eca Bikyeombe , activiste de la socièté civile de Kazimia.
Lubunga lavoix,Baraka
Le Vice-Premier ministre en charge de l'intérieur, de la Sécurité, de la Décentralisation et des Affaires coutumières, Jacquemain Shabani, a procéd
Le Monkeypox, également connu sous le nom de variole du singe, est une maladie virale qui a récemment attiré l'attention en raison de plusieurs cas
En République démocratique du Congo, le Président de la République Félix Tshisekedi a promulgué le 14 novembre dernier la loi p
La justice belge a condamné trois personnes à des peines allant jusqu’à 8 mois de prison ferme et à une amende allant jusqu’à 8 000€ pour avoir imp