Dans la province du Nord-Kivu, les communautés locales et les peuples autochtones ainsi que les chefs coutumiers et des confessions religieuses sont réunies en synergie pour dire non à la destruction des forêts. Ces communautés désapprouvent certaines initiatives tendant à la pollution et exploitation illicites des arbres.
Elles appellent le gouvernement à tout mettre en œuvre pour protéger ces forêts où abritent des milliers d’espèces animales et végétales qui sont d’une importance vitale pour l’humanité. Un des membres de ces communautés, M. Diel Moshire Mwenge s’est exprimé à la presse au nom de toute la représentation.
« Cette richesse que nous avons aujourd’hui, si réellement la RDC parvient à capitaliser ça, c’est parce qu’il y a toute une couche sociale qui aurait mis ses compétences à contribution pour le sauvegarder. Et là en priori, ce sont les peuples autochtones. Parce que, pour les peuples autochtones, la forêt est leur vie. Sans la forêt, la vie est totalement compliquée. Leur mode de vie dépend de tout ce qui est éco-systémique. Nos capacités actuelles de conserver les forêts, de vivre en harmonie avec la nature c’est une très grande expertise que nous allons apporter partout… A titre d’exemple, pour le Nord-Kivu, les peuples autochtones ont été la toute première communauté à venir demander la concession qu’eux-mêmes vont gérer de manière durable. Et ça été octroyée. Et les résultats actuels ont démontré que parce qu’on a mis en avant-plan nos savoirs, on a constaté la restauration dans la biodiversité à plus de 35% ».
Bokulaka Baende
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