La République Démocratique du Congo et 22 autres pays ont endossé la Déclaration commune sur les principes de collaboration dans le cadre du Dialogue sur les forêts, l’agriculture et le commerce des produits de base (Forest, Agriculture and Commodity Trade – FACT).
Le dialogue FACT a été lancé le 2 février dans le cadre de la campagne nature de la présidence britannique de la COP26. Il accueillera un certain nombre de réunions avant la COP26 en novembre et vise à convenir d’une feuille de route mondiale d’actions pour mettre les pays sur la voie de la réduction de la déforestation tout en promouvant le commerce et le développement durables.
L’initiative FACT vise à promouvoir le développement économique, réduire la pauvreté, assurer la sécurité alimentaire et améliorer les moyens de subsistance des milliards d’hommes et femmes et ce, de façon responsable et durable.
« Le dialogue FACT a encore du pain sur la planche pour atteindre ses objectifs à l’approche de la COP26. Mais la publication de la déclaration commune d’aujourd’hui marque une première étape très importante dans l’établissement des bases de notre travail », a déclaré le président désigné de la COP26, Alok Sharma, a déclaré :
Dans cette Déclaration commune, ces pays s’engagent à travailler ensemble pour protéger les forêts du monde, tout en favorisant le commerce et les chaînes d’approvisionnement durables des produits agricoles de base.
« Le fait d’avoir réuni autant de pays, par le biais du dialogue FACT, tant des producteurs que des consommateurs, et de planifier une voie à suivre en matière de commerce durable est un début fantastique. Je suis convaincu que ce n’est qu’un début alors que nous nous efforçons de protéger le commerce et le développement, ainsi que nos forêts riches en biodiversité, dans une égale mesure », a ajouté Alok Sharma.
Le Dialogue est organisé par le gouvernement britannique dans le cadre de sa présidence de la 26ème session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les Changements climatiques (COP26). Il est et co-présidé avec l’Indonésie
« Le dialogue FACT (Forest, Agriculture and Commodity Trade) de la COP26 a franchi une étape importante en rassemblant plus de 20 pays qui se sont engagés à protéger les forêts et les habitats naturels de la planète contre la destruction », dit un communiqué de l’ambassade britannique envoyé à DESKNATURE.COM.
Lancé en février, le dialogue FACT réunit des pays clés qui achètent et produisent des produits tels que le bœuf, le soja et l’huile de palme afin de convenir de la manière dont ces produits peuvent être commercialisés de manière plus durable. La RDC avait pris une part active dans ce Dialogue lors des tables-rondes techniques et ministérielles qui avaient été organisées et qui ont abouti à l’élaboration de la Déclaration commune.
« Le commerce international des produits agricoles de base, tels que l’huile de palme, le soja et le bœuf, représente plus de 80 milliards de dollars par an. Dans le monde, 1,6 milliard de personnes dépendent des forêts pour leur subsistance, dont beaucoup dans les pays en développement », ajoute le communiqué.
Et de préciser:
« Les forêts disparaissent à un rythme alarmant: 80 % de la déforestation tropicale est due à la production de produits agricoles de base. La protection de la biodiversité de la planète et l’établissement d’un avenir durable nécessitent une collaboration mondiale et une approche de la société dans son ensemble, impliquant tout le monde, des dirigeants politiques aux entreprises en passant par les consommateurs individuels ».
La déclaration commune présente un ensemble de principes de collaboration ainsi que quatre domaines d’action et d’objectifs communs:
La déclaration souligne également les engagements et obligations internationaux en matière de protection des forêts, tels que les objectifs de développement durable, l’Accord de Paris, la convention sur la diversité biologique et les accords conclus dans le cadre de l’Organisation mondiale du commerce.
À l’avenir, l’Indonésie, un pays producteur de produits de base, coprésidera le dialogue avec le Royaume-Uni. Le dialogue est également soutenu par un groupe de travail mondial multipartite sur le commerce des produits de base, qui réunit plus de 25 personnalités du monde des affaires et de la société civile.
Les prochaines étapes consistent maintenant à ramener les pays à la table des négociations. Les représentants gouvernementaux de tous les pays seront invités à une séance plénière d’ouverture le 27 mai. Celle-ci sera suivie, début juin, d’une série de groupes de travail sur chacun des quatre domaines d’action mentionnés ci-dessus.
Le dialogue FACT a été lancé le 2 février dans le cadre de la campagne nature de la présidence britannique de la COP26. Il accueillera un certain nombre de réunions avant la COP26 en novembre et vise à convenir d’une feuille de route mondiale d’actions pour mettre les pays sur la voie de la réduction de la déforestation tout en promouvant le commerce et le développement durables.
L’initiative FACT vise à promouvoir le développement économique, réduire la pauvreté, assurer la sécurité alimentaire et améliorer les moyens de subsistance des milliards d’hommes et femmes et ce, de façon responsable et durable.
« Le dialogue FACT a encore du pain sur la planche pour atteindre ses objectifs à l’approche de la COP26. Mais la publication de la déclaration commune d’aujourd’hui marque une première étape très importante dans l’établissement des bases de notre travail », a déclaré le président désigné de la COP26, Alok Sharma, a déclaré :
Dans cette Déclaration commune, ces pays s’engagent à travailler ensemble pour protéger les forêts du monde, tout en favorisant le commerce et les chaînes d’approvisionnement durables des produits agricoles de base.
« Le fait d’avoir réuni autant de pays, par le biais du dialogue FACT, tant des producteurs que des consommateurs, et de planifier une voie à suivre en matière de commerce durable est un début fantastique. Je suis convaincu que ce n’est qu’un début alors que nous nous efforçons de protéger le commerce et le développement, ainsi que nos forêts riches en biodiversité, dans une égale mesure », a ajouté Alok Sharma.
Le Dialogue est organisé par le gouvernement britannique dans le cadre de sa présidence de la 26ème session de la Conférence des Parties à la Convention-cadre des Nations-Unies sur les Changements climatiques (COP26). Il est et co-présidé avec l’Indonésie
« Le dialogue FACT (Forest, Agriculture and Commodity Trade) de la COP26 a franchi une étape importante en rassemblant plus de 20 pays qui se sont engagés à protéger les forêts et les habitats naturels de la planète contre la destruction », dit un communiqué de l’ambassade britannique envoyé à DESKNATURE.COM.
Lancé en février, le dialogue FACT réunit des pays clés qui achètent et produisent des produits tels que le bœuf, le soja et l’huile de palme afin de convenir de la manière dont ces produits peuvent être commercialisés de manière plus durable. La RDC avait pris une part active dans ce Dialogue lors des tables-rondes techniques et ministérielles qui avaient été organisées et qui ont abouti à l’élaboration de la Déclaration commune.
« Le commerce international des produits agricoles de base, tels que l’huile de palme, le soja et le bœuf, représente plus de 80 milliards de dollars par an. Dans le monde, 1,6 milliard de personnes dépendent des forêts pour leur subsistance, dont beaucoup dans les pays en développement », ajoute le communiqué.
Et de préciser:
« Les forêts disparaissent à un rythme alarmant: 80 % de la déforestation tropicale est due à la production de produits agricoles de base. La protection de la biodiversité de la planète et l’établissement d’un avenir durable nécessitent une collaboration mondiale et une approche de la société dans son ensemble, impliquant tout le monde, des dirigeants politiques aux entreprises en passant par les consommateurs individuels ».
La déclaration commune présente un ensemble de principes de collaboration ainsi que quatre domaines d’action et d’objectifs communs:
La déclaration souligne également les engagements et obligations internationaux en matière de protection des forêts, tels que les objectifs de développement durable, l’Accord de Paris, la convention sur la diversité biologique et les accords conclus dans le cadre de l’Organisation mondiale du commerce.
À l’avenir, l’Indonésie, un pays producteur de produits de base, coprésidera le dialogue avec le Royaume-Uni. Le dialogue est également soutenu par un groupe de travail mondial multipartite sur le commerce des produits de base, qui réunit plus de 25 personnalités du monde des affaires et de la société civile.
Les prochaines étapes consistent maintenant à ramener les pays à la table des négociations. Les représentants gouvernementaux de tous les pays seront invités à une séance plénière d’ouverture le 27 mai. Celle-ci sera suivie, début juin, d’une série de groupes de travail sur chacun des quatre domaines d’action mentionnés ci-dessus.
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